7 mai 2009
Le plaisir de faire de ses mains
Elles sont blanches, recouvertes d'une fine pellicule de farine.
Trois, quatre, cinq fois, elles accompagnent la pâte entre les rouleaux, et celle-ci devient peu à peu plus homogène, et plus lisse. Le geste est lent et doux. Il y a des maladresses, des rectifications.
Puis, elles forment des nids qui iront se poser sur la planche de bois, un peu trop petite, prévue pour les laisser sécher.
J'ai mangé mes premières pâtes fraîches, elles étaient bonnes mais trop épaisses, et pas assez bien séparées. J'ai donc fait un petit mémo de choses à éviter pour la fois suivante...
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